Le gouvernement a apporté d’énormes changements à ses lois sur l’avortement pendant le confinement dû au coronavirus.

Voici tout ce que vous devez savoir

a changé la vie telle que nous la connaissons. Et alors que le Royaume-Uni est désormais confiné, des mesures extrêmes sont prises.

Les écoles ont fermé, les travailleurs ont été renvoyés chez eux et le personnel non urgentiste a été invité à ne pas quitter son domicile autant que possible.

Cela a mis la question des droits reproductifs des femmes au premier plan, avec l'inquiétude que les femmes ne puissent pas voyager verscliniques pendant le confinement.

Il a toutefois été rapporté aujourd'hui que le Royaume-Uni avait temporairement assoupli ses lois sur l'avortement pendant l'épidémie afin de garantir que les femmes conservent leurs droits reproductifs.

Getty Images

"La sécurité publique et l'accès continu aux services clés sont notre priorité pendant cette période difficile", peut-on lire dans un communiqué annonçant la nouvelle. "Nous mettons à jour nos directives afin que les femmes qui ont besoin d'un avortement jusqu'à dix semaines et qui ne peuvent pas accéder à une clinique puissent utiliser des pilules abortives à la maison."

Le communiqué poursuit : « Cette mesure sera temporaire et devra faire suite à une consultation téléphonique ou électronique avec un médecin. Nous exposerons prochainement les prochaines étapes, y compris des orientations mises à jour.

Actualités sur les célébrités, beauté, conseils de mode et reportages fascinants, livrés directement dans votre boîte de réception !

La nouvelle a été bien accueillie sur Internet, mais a suscité des appels à une action immédiate.

"Nous saluons le rapport selon lequel le gouvernement s'apprête à rétablir la télémédecine pour les soins en cas d'avortement précoce, mais nous avons besoin de clarté car ce service doit être mis à la disposition des femmes dès que possible", a annoncé le Dr Patricia Lohr du British Pregnancy Service. "De nombreuses femmes victimes de grossesses non désirées sont actuellement incapables de quitter leur domicile ou doivent voyager à travers le pays pour accéder aux soins alors que les services s'effondrent, les mettant ainsi que les personnes avec lesquelles elles entrent en contact en danger inutilement."

Nous continuerons à mettre à jour cette histoire.